"Mao" (Ludwig Von 88) Retour

F                   C      Bb          C
La révolution n'est pas un diner de gala
F                   C      Bb          C
La révolution n'est pas un diner de gala
     Bb               F                C                  F
elle est au bout elle est au bout elle est au bout des fusils
     Bb               F                C                  F
elle est au bout elle est au bout elle est au bout des fusils


   F          F                Bb          F
Au combinat sidérurgique de la ville de Wu-Han
   F          F                Bb          F
Au combinat sidérurgique de la ville de Wu-Han
     F                 F                Bb                F
Il y a des hommes il y a des femmes qui déplacent les montagnes
     F                 F                Bb                    F
Il y a des hommes qui triment comme Yu-Kong déplacait les montagnes
     F               F           Bb             F
Ils sautent à pieds joints, un grand bond en avant
   F       F          Bb                F
Oh oui, oh oui, cent fleurs au fond du coeur
     F            F               Bb             F
Ils suent et ils rient, et s'ils poussent de travers
     F            F          Bb          F
Ils seront redressés par un travail assidu
      C             F           Bb             F
Ils chantent, ils chantent, du Yunnan au Se-Tchouan
    F                 Bb          C                 F
Et quand l'orient rougeoie, ils frétillent dans la joie

La révolution n'est pas un diner de gala
La révolution n'est pas un diner de gala
elle est au bout elle est au bout elle est au bout des fusils
elle est au bout elle est au bout elle est au bout des fusils

Dans l'usine textile numéro douze de la ville de Chengdu
Dans l'usine textile numéro douze de la ville de Chengdu
Il y a des filles il y a des gars qui oeuvrent sans broncher
Il y a des filles qui font du petit bois des tigres en papier
Nageant comme des carpes, ils traversent le fleuve bleu
La révolution est belle, oui elle rend heureux
Pour atteindre l'harmonie, ils traverseront la porte
De la paix celeste sous les yeux du grand timonier
Ils chantent, ils chantent, et tous de bonne humeur
Dans les champs ils sifflotent, Mao au fond du coeur